Prix collégiens lecteurs de Gironde 2022-2023
Les romans sélectionnés pour le prix 2021-2022
Le prix "Collégiens lecteurs de Gironde" 2021-2022, a été attribué au Roman " Le syndrome du spaghetti" de Marie Vareille !
C'était aussi l'un de nos livres préférés !
Les livres sélectionnés étaient :
Prix collégiens lecteurs de Gironde 2020-2021
Félines, grand gagnant du concours !
Affiche d'un élève de 3e dans le cadre d'un epi sur le thème de l'égalité filles/garçons !
Présentation des ouvrages du prix "collégiens lecteurs en Gironde" année 2019/2020 :
Une échappée belle entre Marseille et Paris pour Pierre, en quête d’amour, d’engagement et de liberté. Un lumineux et émouvant roman d’apprentissage.
Pierre, brillant bachelier primé au concours général, quitte son lycée rural et un milieu modeste pour rejoindre Paris et une prépa d’excellence. La voie royale pour un pur outsider boursier à qui on a toujours rappelé combien il était redevable à la société. Le voilà parti… Mais dans le train Pierre fait la connaissance de la flamboyante Olympe. La jeune fille porte des dreadlocks, voyage sans billet, lit Proudhon et doit partir pour une mission humanitaire sur un voilier. C’est le coup de foudre, un chaos amoureux qui bouleverse l’existence rangée de Pierre et lui ouvre de nouveaux horizons. Sa vie de jeune adulte commence à peine et le voilà qui doute, hésite, vacille. Et si c’était à lui de décider de son avenir ? Et si à dix-huit ans on avait le droit d’être léger ? Pour la première fois, il est prêt à désobéir aux profs, à décevoir sa famille, pour seulement écouter ses envies.
Pour la première fois, il peut décider seul : suivre Olympe ou rentrer sagement à Paris...
Personne ne sait exactement comment ça a commencé. Ni où ni quand d'ailleurs. Louise pas plus que les autres. Ce qui est sûr, c'est quand les premiers cas sont apparus, personne n'était prêt et ça a été la panique. Des adolescentes qui changeaient d'un coup. Des filles dont la peau se recouvrait de... dont les sens étaient plus... et les capacités... Inimaginable... Cela n'a pas plu à tout le monde. Oh non ! C'est alors qu'elles ont dû se révolter, être des Félines fières et ne rien lâcher ! Après Sirius (prix Sorcières 2018), Stéphane Servant revient avec un roman coup de poing.
Alistair a 22 ans et sa mère lui a toujours défendu de sortir de chez eux. Trop dangereux. Pourtant, Alistair est bien décidé à vivre son rêve : aller sur la Lune. Mais comment faire, quand on n’a parlé à personne d’autre qu’à sa mère et qu’on n’est jamais allé plus loin que le pas de la porte de son appartement ?
Le fugitif est-il un sans-papier ? Un migrant recherché par la mafia ? Un criminel en cavale ou un malade mental ?
Jeff et son frère Norbert sont bien en peine d'identifier l'inconnu qui s'est réfugié dans la cave de leur immeuble. L'homme à la peau trop blanche et aux yeux sans pupille ne parle pas
autrement qu'en faisant claquer sa langue. C'est à n'y rien comprendre. Bien que traqué, il semble refuser de quitter la tour où habitent les deux frères.
Mais comment peuvent-ils le cacher alors que leur immeuble, voué à la démolition, va être réduit en poussière dans quelques semaines ?
Alors que son père vient de trouver la mort sur la route du piton Maïdo, à la Réunion, Soën est miné par de terribles doutes.
Pourquoi des policiers ont-ils fait le voyage depuis Paris pour enquêter sur les circonstances du décès ? Pourquoi son père avait-il menti à tous sur l'existence de sa propre famille en
métropole ? Pour comprendre, Soën va suivre la seule piste dont il dispose, celle d'événements survenus en Turquie trente ans plus tôt ...
À Adam, de retour pour les vacances, Brest n’a pas grand-chose à dire. Toujours au loin les grues du port, plus près, entre les toits des maisons, le même morceau d’océan, plus près encore le pavillon familial en un décor inchangé, avec au centre cette drôle de licorne maternelle, en manteau gris cintré, échappée de son zoo mental.
Ici, il faudra fuir les heures qui se traînent, comme Adam sèche les cours de son école de graphisme, comme la vie se débrouille sans enthousiasme.
Hors cadre, pourtant il y a des braises sonores sous les cendres. Emballé dans du plastique, un paquet de lettres fait résonner la voix de son père volatilisé et bel et bien définitivement disparu. L’ami télépathe, Jack-Nathan, ce géant de deux mètres, qui derrière ses Ray-Ban traque ces pauvres canards de surfeurs, avant de bouffer du sable et de s’évader de nouveau, exhorte Adam à arrêter de confesser les pop-corn et à se tirer loin de son petit enfer de grâce et d’oubli. Et il y a la vie enregistrée en sa plus infime sonorité déglinguée par Aeka, aussi furieusement allumée que Jack, les mots brûlants de Katel, les bouffées d’enfance.
Tout parle en fait. Maintenant, c’est à Adam de raconter.